EXPOSITION - 08/10 au 26/10 2018

photOFolies - photographie et architecture

Dans le cadre du festival Photofolies 2018, nous vous proposons un OFF en marge de l'exposition de photographie de Lucien Hervé, reconnu comme l'un des plus grands photographes d'architecture des années 50 ( Le Corbusier, Alvar Aalto et Oscar Niemeyer...)

Nous présentons les regards décalés d'un artiste plasticien Cyril Hatt et d'un photographe d'architecture contemporaine Martin Argyroglo.

Au travers de l’œuvre “photomaton”, Cyril Hatt expose une installation où le sujet et sa représentation sont mis en abîme : à la fois photographie d'architecture et architecture de photographie. www.cyrilhatt.fr

Martin Argyroglo présente des photographies de bâtiments ordinaires réalisées en marge de son travail institutionnel de photographies d'architecture. Ici, les bâtiments en béton sont déconstruits, réduits à l’état de ruine et perdent leur caractère héroïque. Ils en deviennent anachroniques. martin-argyroglo.com

Exposition visible depuis la rue. Vernissage le 12/10/2018 à 18:00

EXPOSITION - octobre 2017

photOFolies

Exposition collective sur vitrine visible depuis la rue autour de la thématique pile ou face au format carte postale.

Collectif : Balint Pörneczi // Antoine cayzac // Bastien Marion // Cécile Breau // Daphné Rosinsky // Benoît Blein // Cédric Raynal // David Rouzies // Olivier Pracht // PRACHT // Simon Grésilières // Vincent McClure // Quentin Tourbez // Sophie Roube // Zeïneb Ben Hiba

EXPOSITION - mai 2017

Fabrikdelabeslot - géological sound #0

L’artiste Fabrikdelabeslot nous offre un préambule à son projet geological sound, qui s’intéresse à la fois à l’histoire du disque, du vinyle au disque en terre… et à la notion de territoire. Il dresse ainsi une carte géologique revisitée et donne à entendre le « chant des terres ». Au-delà de la prouesse technique, et de la découverte de ces objets nés de l’extraction de terre aveyronnaise, c’est une véritable expérience sonore qui est proposée et qui s’inscrit dans le cadre du travail de cet artiste performeur qui mélange les genres et où son, le texte, tout en volume, sont les supports privilégiés pour nourrir les questions de langage et de territoire.

INSTALLATION - avril 2017

larsen

Larsen visuel : l'installation vidéo produit une immersion suivie d'une mise en abyme dans l'image.

Dans le cadre du festival ART'S Degonde à Sainte-Radegonde

EXPOSITION - septembre 2016

photOFFolies - Histoires courtes

En relation avec la thématique 2016 du festival Photofolies, c’est dans des lieux du quotidien, que les photographies présentées ici ancrent leur appel à la mémoire, plus particulièrement dans des environnements en relation avec le monde du travail. La mise en image de tels lieux, tout en soulignant la puissance de l’anodin dans notre rapport au passé, pose la question de la transmission de l’expérience individuelle, interroge en creux les notions de pénibilité et de labeur, la place qui est réservée à l’homme. En se positionnant à l’écart, détachées de l’histoire et de la mise en spectacle de ses événements, les propositions du collectif « Histoires courtes » font avant tout appel à l’indice, au fragment, à l’objet, ou au presque rien, et créent un climat aussi propice au souvenir, qu’à la fiction suggestive.
" Si nous examinons de quelle façon nous nous souvenons, nous reconnaîtrions que le plus grand nombre de nos souvenirs nous reviennent lorsque nos parents, nos amis, ou d’autres hommes nous les rappellent. [...] c’est dans la société que l’homme acquiert ses souvenirs, qu’il se les rappelle, qu’il les reconnaît et les localise. [...] " Maurice Halbwachs, Les cadres sociaux de la mémoire

INSTALLATION - aout 2016

tente camera obscura

Un simple trou ménagé dans un espace totalement opaque projette le paysage environnant, à la manière d'une chambre d'appareil photo. Pour des siestes estivales poétiques.

INSTALLATION - juin 2016

pénétrables

Ces pénétrables s’inscrivent dans la veine de celles de l’artiste plasticien Jesús-Rafael Soto. Ces dernières se présentent sous la forme de fils suspendus qui réagissent aux faires du spectateur. Le spectateur est acteur.

Ici, nous interrogeons et incitons à franchir les porches du quartier des Embergue à Rodez et découvrir les cours intérieures en marge des rues.

Ces pénétrables permettent de faire corps avec les bâtiments et les espaces alentour : nous éprouvons physiquement les porches par la présence de divers matériaux (des fils, des filets de chantier ou des ballons). Le vide est matérialisé.

En partenariat avec Hugues Tournier et Denis Cabiron architectes.